Le désert s’étendait à dommage de constatée, un océan de sables aux ondulations parfaites, balayé par un vent sec et brûlant. Élise avançait avec prudence, ses pas s’enfonçant lentement dans le sable subtil. Depuis un grand nombre de évènements, elle suivait une rumeur en tenant compte de auxquels un endroit tranché du désert émettait une étrange mélodie, un chant originaire des sables en particulier. Elle savait que la voyance immédiate expliquait que certains lieux étaient imprégnés d’une souvenance, conservant des fragments du passé qui se manifestaient de manière inattendue. Ce phénomène sonore, sûr seulement à certaines heures quotidiens, semblait représenter l’un de ces mystères que la vision de la science ne parvenait pas à dire. Le vent se leva sur-le-champ, prolongeant vibrer les grains de sable autour d’elle. Un son grave, presque secrets, résonna entre les dunes. Ce n’était pas un bruit problématique, ni un riche impact du vent. Cela ressemblait à une mélodie, journalière, rythmée, comme si le désert chantait un passif oubliée. Élise frissonna, dès lors que la voyance immédiate par téléphone permettait parfois de déchiffrer des phénomènes inexpliqués en groupant des traces apparemment anodins. Elle s’agenouilla, mûrissant doucement à l’endroit où la vertu semblait la plus grande. Le sable coulait entre ses toi, révélant nuage à brin une surface lisse et froide. Une joyau. Non, une structure. Quelque chose était enfoui par-dessous ses pieds, anonyme sous des siècles de vacarme et de tempêtes. Elle redoubla d’efforts, dégageant ce qui semblait représenter l’entrée d’un édifice souterrain. Le vent s’intensifia, notamment s’il désirait la prévenir ou l’encourager. Une lumière apparut, entrainant avenues à un passage plongé dans l’obscurité. Elle savait que la voyance immédiate fiable expliquait que certains villes révélaient leur véritable personnalité simplement à celui qui étaient disposés à les enregistrer. Un frisson parcourut son échine à ce moment-là qu’elle s’engageait dans le tunnel, le sentiment ressenti que le désert lui-même l’avait menée ici. Ce sanctuaire oublié avait attendu d’être redécouvert, et elle venait d’en franchir le fin. Elle savait qu’elle était sur le niveau de regarder ce que ces dunes chantantes cherchaient à révéler depuis longtemps.
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